Séance « Les quatre saisons »

Le 22 avril 2024

Admirable Tremblement du temps – Les Quatre Saisons, Nicolas Poussin, 1660-1664

Date de sortie : 1991
Producteur :
Cinéaste : Alain Jaubert
Pays de production :
Description :
Peu de temps avant de mourir, Nicolas Poussin peint Les Quatre Saisons (1660-1664), quatre toiles dont la touche presque ponctuelle transmute les tremblements nerveux dont il souffre en une facture poétique allusive bienvenue. Source de méditation, ces vastes paysages habités parlent de la nature, du cycle de la vie et de l’histoire de la rédemption, tout en prenant une dimension testamentaire.
Durée : 30 min

Les saisons

Date de sortie : 1975
Producteur :
Cinéaste : Artavazd Pelechian
Pays de production : République socialiste soviétique d'Arménie
Description :
Dans une mise en scène lyrique rythmée par la musique des “Quatre Saisons” de Vivaldi, ce film emblématique du cinéma de Pelechian montre les moments forts de la vie quotidienne de bergers d’Arménie qui s’inscrivent dans le cycle des saisons. La fenaison, la transhumance sont les principaux leitmotivs de ce poème cinématographique.
Durée : 30 min

Date/heure - 22 avril 2024 / 20h15

Où - Cinéma Arvor

Catégories :

Revers

En avril, pour fêter le retour du printemps, c’est à une séance autour des quatre saisons, vues par la peinture et par le cinéma, que nous vous convions.

En écho à l’exposition Noël Coypel présentée au Musée des beaux arts de Rennes, ce dernier a choisi de montrer un film autour d’un tableau de Nicolas Poussin, l’un des peintres les plus célèbres du “Grand siècle” auquel appartient également Noël Coypel. Comme il le fait dans les autres émissions de sa célèbre série Palettes, Alain Jaubert détaille, agrandit, relie, analyse les différents éléments des quatre tableaux Les quatres saisons de Nicolas Poussin et aiguise notre regard.

C’est le mouvement, des hommes et des saisons, que le cinéaste Artavazd Pelechian met lui en valeur dans son film Les saisons, qui dépeint la vie, cyclique, des bergers d’Arménie et dont le montage fait rimer ou s’entrechoquer les trajectoires des hommes et des bêtes.