Une vi(ll)e habitée

Le film se présente comme un street movie, un chemin que je trace peu à peu dans Bruxelles. Le fil narratif en est un périple, en compagnie d’une amie écrivaine, dans le « quartier des grands-mères » de mon enfance, à la recherche de ce que signifie habiter un lieu.
Ce parcours personnel est mis en relation avec deux autres manières, collectives celles-lé, d’investir la ville, deux fétes populaires bruxelloises en mouvement : le Meyboom, féte d’un quartier qui n’existe plus et qui fait revivre chaque année l’esprit du bas-fond, et la Zinneke Parade, féte récente à la recherche d’une identité nouvelle, rassemblant des habitants de toutes origines.