Le cinéma documentaire portugais

Sommaire

Le cinéma documentaire portugais

Le documentaire portugais n’a jamais existé, par Gérald Collas
Maria do Mar de Jose Leitéo de Barros, par Joéo Bénard da Costa
Le Peintre et la ville de Manoel de Oliveira, par Saguenail Le Mystére du Printemps de Manoel de Oliveira, par Saguenail
Belarmino de Fernando Lopes, par José Manuel Costa
Vilarinho das Furnas d’Anténio Campos, par José Manuel Costa
Le pays intime, à propos des films d’Anténio-Pedro Vasconcelos, par Joéo Lopes
Très-os-Montes d’Antonio Reis, par Anténio-Pedro Vasconcelos Très-os-Montes, un adieu portugais, par Rodrigues da Silva
Rencontres avec Pierre-Marie Goulet, par Serge Meurant
Entretien avec Pedro Costa, par Jacques Lemière
Dans la chambre de Moebius, par Jean-Louis Comolli

Films

And Thereafter II, de Hosup Lee, par Cédric Mal
Le Bruit du canon, de Marie Voignier
Description d’une île, de Rudolph Thome et Cynthia Beatt
L’Ecole de cirque, de Guo Jong et Ke Dingding
Naissance et Maternité, de Naomi Kawase
Le Papier ne peut pas envelopper la braise, de Rithy Panh
Scénes de chasse au sanglier, de Claudio Pazienza
Le Rideau de sucre, de Camila Guzman Urzua
Their Helicopter, de Salome Jashi
Un fleuve humain, de Sylvain L’Espérance

Notes de lecture

à Le documentaire portugais n’a jamais existé é, par Gérald Collas